Ibrahima Nour Edine Diagne s’exprime sur VOA Afrique sur les enjeux de la souveraineté numérique en Afrique, spécialement à l’ère de l’intelligence artificielle. Comment l’Afrique peut-elle se positionner et tirer parti de ces technologies tout en assurant une croissance économique durable ? Découvrez-le dans cette entretien.
Article original entier à lire ici : VOA
L’Afrique se trouve aujourd’hui à un nouveau moment charnière de son histoire (qui s’ajoute à de nombreux autres dans les époques pré-moderne et moderne). Si le continent ne parvient pas à gérer correctement la transition vers l’IA, le fossé technologique entre l’Afrique et le reste du monde pourrait se creuser (de manière irréversible).
Être connecté ne suffit plus. Si les débats sur la fracture numérique ont longtemps porté sur l’accès à Internet ou à un ordinateur, une nouvelle ligne de faille se dessine aujourd’hui : celle des inégalités dans les usages et les bénéfices du numérique. Bienvenue dans l’ère de la fracture numérique de troisième génération. ✅ Connectés,…
Un lionceau dans les étoiles. «Gaïndé», qui signifie «lion» en wolof, langue nationale du Sénégal, prête son nom à Gaindesat-1A : le premier satellite mis en orbite par ce pays ouest-africain. En l’occurrence, ce cube de 10 cm d’arête et d’à peine un kilo est un nanosatellite.
This article aims to be pragmatic. Beyond differences in political regime, it studies the regulatory approaches of the three largest digital economies in the world: China, the United States, and the European Union. The three models can potentially hinder or stimulate the development of digital technologies without necessarily opposing each other.
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